- EAN13
- 9782259316279
- Éditeur
- Plon
- Date de publication
- 09/11/2023
- Collection
- Feux croisés
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Plon 20,90
Soixante ans après la mort du grand écrivain Aldous Huxley, son chef-d'œuvre,
Le Meilleur des Mondes, dans une nouvelle traduction de Josée Kamoun. Un roman
qui se lit et se relit, intemporel, visionnaire, absolument génial.
632 après Ford : désormais on compte les années à partir de l'invention de la
voiture à moteur. La technologie et la science ont remplacé la liberté et
Dieu.
La vie humaine, anesthésiée, est une suite de satisfactions, les êtres
naissent in vitro, les désirs s'assouvissent sans risque de reproduction, les
émotions et les sentiments ont été remplacés par des sensations et des
instincts programmés.
La société de ce Meilleur des mondes est organisée, hiérarchisée et
uniformisée, chaque être, rangé par catégorie, a sa vocation, ses capacités et
ses envies, maîtrisées, disciplinées, accomplies. Chacun concourt à l'ordre
général, c'est-à-dire travaille, consomme et meurt, sans jamais revendiquer,
apprendre ou exulter.
Mais un homme pourtant est né dans cette société, avec, chose affreuse, un
père et une mère et, pire encore, des sentiments et des rêves. Ce " Sauvage ",
qui a lu tout Shakespeare et le cite comme une Bible, peut-il être un danger
pour le " monde civilisé " ?
Le Meilleur des Mondes, dans une nouvelle traduction de Josée Kamoun. Un roman
qui se lit et se relit, intemporel, visionnaire, absolument génial.
632 après Ford : désormais on compte les années à partir de l'invention de la
voiture à moteur. La technologie et la science ont remplacé la liberté et
Dieu.
La vie humaine, anesthésiée, est une suite de satisfactions, les êtres
naissent in vitro, les désirs s'assouvissent sans risque de reproduction, les
émotions et les sentiments ont été remplacés par des sensations et des
instincts programmés.
La société de ce Meilleur des mondes est organisée, hiérarchisée et
uniformisée, chaque être, rangé par catégorie, a sa vocation, ses capacités et
ses envies, maîtrisées, disciplinées, accomplies. Chacun concourt à l'ordre
général, c'est-à-dire travaille, consomme et meurt, sans jamais revendiquer,
apprendre ou exulter.
Mais un homme pourtant est né dans cette société, avec, chose affreuse, un
père et une mère et, pire encore, des sentiments et des rêves. Ce " Sauvage ",
qui a lu tout Shakespeare et le cite comme une Bible, peut-il être un danger
pour le " monde civilisé " ?
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