- EAN13
- 9782367160689
- Éditeur
- "Lettmotif"
- Date de publication
- 13/03/2016
- Collection
- Thèses/Essais
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - "Lettmotif" 18,00
Dans toute son œuvre Fellini élabore un jeu de miroirs complexe à la fois pour
comprendre comment se construit la réalité de l’homme et pour réfléchir sur le
processus créatif, et il ne cesse de répéter que le cinéma est un art de la
mémoire.
Une mémoire personnelle, souvent mêlée à un sentiment nostalgique, où
s’établit un rapport particulier entre souvenirs réels et souvenirs inventés
et où est questionnée la problématique de la représentation de la réalité,
réalité qui semble impossible à dire et qui doit être recréée par
l’imaginaire.
Une mémoire aussi qui raconte l’histoire de l’Italie, de l’être humain, du
cinéma et qui critique la société moderne, où l’empreinte nostalgique devient
de plus en plus forte et où la prise de conscience qu’il n’y a pas de retour
possible se fait plus vive. La nostalgie prend alors une dimension plus
universelle, où la question du temps devient primordiale et où le mouvement
entre les différents temps passé, présent et futur accompagne et renforce le
mouvement entre réalité et imaginaire.
Cette étude tente d’analyser ces nostalgies et leurs représentations dans
l’univers complexe du réalisateur.
Véronique Van Geluwe est née au Maroc et a vécu une vingtaine d’années en
Italie où elle a travaillé dans le conseil en entreprise. Passionnée de
cinéma, elle a collaboré durant une dizaine d’années au Festival du cinéma
africain, d’Asie et d’Amérique latine de Milan et est également traductrice-
adaptatrice cinématographique et professeur d’italien. Elle vit actuellement à
Aix-en-Provence où elle a effectué un Master recherche en cinéma-audiovisuel.
comprendre comment se construit la réalité de l’homme et pour réfléchir sur le
processus créatif, et il ne cesse de répéter que le cinéma est un art de la
mémoire.
Une mémoire personnelle, souvent mêlée à un sentiment nostalgique, où
s’établit un rapport particulier entre souvenirs réels et souvenirs inventés
et où est questionnée la problématique de la représentation de la réalité,
réalité qui semble impossible à dire et qui doit être recréée par
l’imaginaire.
Une mémoire aussi qui raconte l’histoire de l’Italie, de l’être humain, du
cinéma et qui critique la société moderne, où l’empreinte nostalgique devient
de plus en plus forte et où la prise de conscience qu’il n’y a pas de retour
possible se fait plus vive. La nostalgie prend alors une dimension plus
universelle, où la question du temps devient primordiale et où le mouvement
entre les différents temps passé, présent et futur accompagne et renforce le
mouvement entre réalité et imaginaire.
Cette étude tente d’analyser ces nostalgies et leurs représentations dans
l’univers complexe du réalisateur.
Véronique Van Geluwe est née au Maroc et a vécu une vingtaine d’années en
Italie où elle a travaillé dans le conseil en entreprise. Passionnée de
cinéma, elle a collaboré durant une dizaine d’années au Festival du cinéma
africain, d’Asie et d’Amérique latine de Milan et est également traductrice-
adaptatrice cinématographique et professeur d’italien. Elle vit actuellement à
Aix-en-Provence où elle a effectué un Master recherche en cinéma-audiovisuel.
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